Clémence « L’Aristocrate » Le Week-End Chez Le Consul Du Maroc. (Partie 3)

Fadoul m’avait épuisée, je n’avais qu’une envie, c’était de dormir. Arrivée dans la chambre, je jetai mon string et mon peignoir sur un fauteuil et me glissai dans mon lit, sans même prendre le temps d’allumer la lumière. Quelle surprise en entrant dans les draps, je pensais m’être trompée de chambre, je me tournai pour allumer la lampe de chevet. Farah la jeune fille du consul était nue comme un ver, couchée dans mon lit. Elle me dit de ne pas allumer la lumière et se colla contre moi. Je m’étais retrouvée comme à mon adolescence, lorsque je dormais avec ma meilleure amie.

Nous nous embrassions, nous nous faisions des câlins, des petites caresses avec nos mains et nous nous endormions dans les bras l'une de l'autre. Mais cette nuit-là, Farah s’était rapprochée de moi, encore et encore et elle m’a embrassée avec la langue, tout en me caressant la poitrine. Au début je ne l'avais pas repoussée, ses gestes ambiguës me rendaient folle. « Était-elle lesbienne ? » « Que faisait-elle ici ? » « Cette petite était vraiment mal. » Me demandais-je. Sa main descendait sur mon ventre, j’étais entièrement passive, je me laissais faire sans esquisser le moindre geste à son égard. Le silence était total. Lorsqu’elle avait quitté ma bouche et qu’elle commença à me lécher le téton puis le sein, je regrettai tout de suite de ne pas avoir pris ma douche, Fadoul avait éjaculé sur moi, j’eus peur qu’elle s’en aperçoive :
— Farah arrête ! …S’il te plait retourne te coucher, nous discuterons de cela demain.
— Ça ne te plait pas ?

Les quelques minutes de tendresse que Farah me procura, m’avaient émoustillée, j’avais apprécié mais je ne pouvais pas continuer, je l’avais repoussé une nouvelle fois sans méchanceté. Farah était une fille intelligente, elle comprit et était repartie dans sa chambre après m’avoir fait une bise sur la bouche. Je n’en pouvais plus, Fadoul m’avait rassasiée sexuellement et les caresses de sa sœur m’avaient apportée un peu d’amour.

Je m’allongeai, sentant la sueur, la cyprine et le sperme et je m’étais endormie comme une masse en pensant à cette journée inoubliable.

À six heures trente, Boris me réveilla, il était penché sur moi et m’embrassait le ventre tout en me caressant les seins. Puis il me léchait les paupières afin que j’ouvre les yeux. Mais que faisait-il dans ma chambre ? Je me rappelais que je n’avais pas fermé après la sortie de Farah. Pour qui me prenait-il ? J’étais très fâchée mais en même temps, je ne lui en voulais pas, il m’arrivait quelque chose de surprenant. Sa présence me troublait et cela depuis que j’avais fait sa connaissance. Ce jeune homme me fascinait, il m’énervait mais je ne pouvais rien lui refuser, j’en étais bien consciente.

Une petite voix dans ma tête me disait ne le rejette pas : « Laisse-toi faire, cet homme te fais du bien, ce n’est pas ton mari. » Il devait se lever tôt afin de faire la préparation du petit déjeuner des invités. J’avais des difficultés à ouvrir les yeux. Boris se pencha sur moi « Laisse-moi dormir Boris, tout à l’heure. » S’il te plait je n’ai dormi qu’à peine quatre heures :
— Je dois me lever Clémence, fais-moi une gâterie avant que je me parte travailler.

Sans me demander mon avis, il me chevaucha et vint présenter son pénis en érection devant ma bouche en m’ordonnant :
— Putain ! tu me suce ou quoi ? Tu ne vas pas me laisser dans cet état.

Ce Boris était infernal, il me faisait tourner la tête, il me donnait des ordres, tout en étant grossier avec moi, je ne le supportais pas et pourtant, j’ouvris les yeux et pris sa verge dans ma main et j’embrassai son gland avant de l’avaler. Je fus consciente qu’il fallait que je m’applique afin qu’il jouisse rapidement, je voulais redormir un peu. Je me mis à l’œuvre, ma langue, ma bouche, mes doigts avaient eu raison de son désir, il s’enfonça un peu plus entre mes lèvres et éjacula toute sa semence au fond de ma gorge :
— Je viendrai te réveiller lorsque tout sera prêt en bas.
À tout à l’heure ma chérie, je penserai à toi.

Une bonne cuiller à soupe de sperme comme petit déjeuner, n’était pas l’idéal mais me permis de me rendormir jusqu’à 9 heures. Je sortais de la salle de bain et finissais de m’habiller lorsque qu’on frappa à ma porte. J’étais à cent lieues de penser que Boris reviendrait en plein jour dans ma chambre, j’allai donc ouvrir pensant à Farah :
— Mais que fais-tu là Boris ? Je ne te permets pas de venir ici.
Sans me répondre immédiatement, il mit sa main entre mes seins en me poussant vers l’intérieur puis referma la porte derrière lui :
— Tu ne m’embrasses pas pour me souhaiter la bienvenue.
— Si bien sûr, mais tu ne devrais pas être là Boris, sauve-toi.
— Je tenais à venir m’excuser de mon comportement de ce matin.

Il me prit dans ses bras et m’embrassa, sa langue força le passage, je ne refusai pas son baiser, je lui mis les bras autour de son cou et nous restâmes quelques minutes ainsi l’un contre l’autre. Je ne pouvais pas m’en dissocier, ce jeune garçon m’hypnotisait. Tout en continuant à nous embrasser, il me dirigeait vers le fauteuil, il me dit à l’oreille :
— J’ai envie de toi, je te veux tout de suite.

Ses bras emprisonnèrent ma taille, et ses doigts glissèrent dans mon dos et sur mes hanches. Je replaçai mes bras derrière sa nuque et nos lèvres se touchèrent puis s'entrouvrirent, ma langue se glissa entre ses lèvres, mon abandon lui faisait l'effet d'un électrochoc. Il glissa la fermeture éclair de ma robe et la laissa tomber sur le sol. Je me laissais faire, je ne pouvais lui dire de stopper, je savais qu’il ne fallait pas faire l’amour avec lui ici, dans ma chambre mais impossible de lui refuser, j’étais prise par le désir, de m’abandonner dans ses bras, d’être sa chose.

Je me retrouvais en bas maintenus par mon porte-jarretelle et ma petite culotte en dentelle. Il me souleva du sol comme une plume pour me déposer délicatement sur le lit derrière nous.
Une fois allongée, je plaçai mes bras au-dessus de ma tête, dans une posture d’abdication, de laisser-aller total à mes désirs. Sans aucune gêne, il se déshabilla complètement et vint s'allonger à côté de moi, appuyé sur un coude, il laissait son autre main errer sur mon ventre, sur ma poitrine, sur mes épaules, dans une caresse aussi délicate que sensuelle.

Il était si doux parfois que je ne pouvais pas l’imaginer autrement. Tandis qu’il me caressait d'une main experte, il contemplait dans la pénombre, les reliefs de mon corps seulement éclairés par la faible luminosité d’un jour de grisaille que nous connaissions ce matin après l’orage de cette fin de nuit :
— Tu es si belle ! Me murmura-t-il. Avant de m’embrasser à nouveau.

Mes bras redescendirent et l'emprisonnèrent pour prolonger ce baiser. Je m’abandonnais encore dans ses bras en me tournant vers lui, ma poitrine collée contre son torse, il sentait mes seins frémir contre sa peau. Sa bouche se détacha alors de la mienne et descendit dans mon cou, le couvrant de délicats baisers, puis il en fit de même sur mes épaules.

Lorsque ses lèvres vinrent se poser sur la peau douce de mon sein gauche, ma tête rejetée en arrière, je laissai échapper un soupir, un petit gémissement de bonheur, de désir aussi, je voulais que ce moment s’éternise. Et quand ses lèvres emprisonnèrent mon téton durci, je gémis plus fort, afin de l'encourager à pousser plus avant ses caresses.

Sa main glissa sur votre ventre et vint se poser sur ma vulve déjà humide, massant mes lèvres intimes tandis que sa langue parcourait toujours mes seins sensibilisés. Ses doigts s’humidifiaient au contact de mon intimité, mouillée d’excitation. Il les glissa de haut en bas entre mes cuisses, c’était bon, j’ondulais sous les caresses conjointes de ses doigts et de sa langue. Sa main remonta alors sur mon ventre puis se glissa dans ma fente.

Une profonde inspiration souleva ma poitrine avant qu’un gémissement de s’échappe de ma bouche, ses doigts caressaient ma fine toison soyeuse et glissaient jusqu’à mes grandes lèvres, je pâmais sous ses caresses, je me soulevai encore, je voulais qu’il prenne possession de mon intimité sans obstacle.
Je me cambrai en écartant les cuisses largement pour faciliter ses attouchements. Ma cuisse vint frôler sa verge turgescente, mes doigts vinrent alors se refermer autour de sa hampe tendue à bloc, et j’entamais des allées et venues, le masturbant doucement.

Mon pouce passant sur son gland décalotté avant que ma main ne redescende le long de sa longue queue bandante. Sa bouche quitta ma poitrine pour descendre jusqu’à mon vagin trempé de l’intérieur, sa bouche embrassa ma vulve offerte annonçant un plus grand bonheur. Sentant ce plaisir venir, il ne put résister plus longtemps, il vint se placer et glissant entre mes jambes écartées, il enfouit son visage entre mes cuisses, offrant à mon sexe, le contact d’un baiser terriblement excitant où sa langue vint laper la cyprine qui coulait à présent. Il léchait à la recherche de mon clitoris gonflé de désir et sorti de sa protection. Il le titilla du bout de la langue, tout en enfonçant un doigt profondément dans mon vagin, puis un deuxième, mimant un sexe qui me pénétrait, tandis qu’il léchait, suçait et aspirait.

Je coulais mon plaisir, mon jus dégoulinait et son visage en était trempé. Je m’agrippai à sa tête la maintenant entre mes cuisses pour prolonger la caresse buccale, il sentit mon corps vibrer sous ses baisers mes mains se crispèrent sur sa tête, je me tortillais sur le lit. Tout mon corps se mit à trembler, puis dans un long gémissement, mes cuisses se resserrèrent sur sa tête comme si elles voulaient l'écraser, lorsque mon éjaculation dans un flot, coula sur sa langue. Je succombais à un orgasme comme j’adorais.
— Allonge-toi ! Lui ordonnais-je en l'attirant à mes côtés.

Mes lèvres entrèrent en contact avec son gland et je déposai un doux baiser dessus, puis un deuxième, puis encore un. Avec ma langue, je parcourais sa hampe, la couvrant de baiser jusqu'aux testicules que ma main vint caresser tandis que ma langue remontait le long de son pénis en érection totale, je léchais avant de venir engloutir son gland à nouveau.
Ma tête montait et descendais sur sa queue, mes lèvres refermées autour de sa hampe, caressant ses bourses d'une main, l'autre posée sur son ventre à la base de sa verge. Le plaisir que je lui offrais, semblait lui plaire, d’après les râles qui s’échappaient de sa bouche.

Lorsque j’avais vu sa tête en arrière, les yeux révulsés se concentrant pour résister et ne pas jouir et inonder ma bouche, le sentant proche de l'explosion, je stoppai la fellation et tenant toujours son sexe, il sortit un préservatif de sa poche de son pantalon posé à même le sol et me le tendit. J’en déchirai l'emballage avec les dents et l'enfilai sur sa queue. Je n’avais qu’une envie maintenant, c’était qu’il me prenne, je voulais son dard dans mes entrailles.

Je me mis à califourchon sur son ventre, à genoux et je guidai du bout des doigts son membre, devenu impressionnant de largeur, jusqu'à l'entrée de mes grandes lèvres intimes puis lorsque son gland était en face de mon orifice vaginal, je m’étais laissée descendre doucement sur sa longue queue. Bouche ouverte je posais mes mains sur sa poitrine, et commençais à monter et descendre à mon rythme, m’empalant sur son pieu. Il glissa ses mains sous mes fesses afin de me soulager dans ma chevauchée fantastique. Un gémissement continu sortit de ma bouche tandis que son sexe entrait et ressortait du mien avec régularité. Mon vagin ruisselait jusque sur ses bourses. Empalée jusqu'à la racine de son sexe, je fis des mouvements d'avant en arrière en contractant mes muscles internes, faisant ainsi pression sur sa queue qui frottait mon clitoris, pendant qu’il empoignait mes seins et les malaxait avec tendresse.

La sensation de cette fabuleuse verge s'enfonçant dans mon ventre me fit une nouvelle fois monter en excitation. Je me contractais, j’avais l’impression d’être transpercée à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi. Lui aussi, venait, il s’accrocha à mes hanches, bien décidé à me faire hurler de plaisir, il se mit en mouvement se soulevant et s’abaissant, il me pilonnait sans ménagement. Nous gémissions de plus en plus fort. Soudain, un gémissement plus intense sortit de ma bouche tandis que mon corps se tendit comme un arc avant d’être secoué de spasmes incontrôlables.

Je poussai un cri en me lâchant de toute ma jouissance, me vidant sur son ventre. Mon plaisir entraînant le sien, Je me couchai sur le côté, afin qu’il puisse se retirer d’entre mes cuisses puis enleva le préservatif pour se me masturber vigoureusement. Soudain, un jet de sperme gicla de sa verge et vint atterrir sur mon ventre, suivit de nombreux autres souillant mon corps de mon pubis jusqu’à mes seins. Je ne pensais pas qu’il soit capable de produire une éjaculation aussi abondante, il continuait de se masturber au-dessus de mon ventre tant que son geyser n’était pas tari. Il s’écroula à côté de moi, épuisé, mais aux anges. Déposant un baiser sur mes lèvres avant de tenter de reprendre son souffle en me regardant dans les yeux :
— C’était fabuleux Clémence, je ne regrette pas d’être venu t’importuner.

J’avais pris le petit déjeuner en compagnie de la famille du consul du Maroc toujours Farah à mes côtés, sans aller revoir Boris occupé par le service de table. La jeune orientale me dit en me tenant la main qu’elle serrait :
— Je t’aime Clémence, j’espère que nous pourrons un jour nous revoir.
— Moi aussi Farah mais ce n’est pas de l’amour, c’est de l’amitié.
— Pas pour moi, mes sentiments pour toi sont profond. Me répondit-elle en enlevant sa main pour s’essuyer la larme qu’elle avait à l’œil.

Elle s’était levée et était remontée dans sa chambre. Vers 11 h 00, une serveuse me fit signe que le chauffeur de mon mari m’attendait dans la cour, je pris congé de mes hôtes, Fadoul lui aussi avait les larmes aux yeux en me quittant, il était triste de ne plus me revoir. Montée dans la limousine française, j’aperçu Boris sur le perron, il semblait furieux après moi, mais je ne devais pas prendre de risque de m’afficher avec lui avant de quitter les lieux avant mon départ. D’un autre côté, je voulais le fuir afin de me sortir de ses griffes, je me sentais coupable, néanmoins, j’espérais, au plus profond de moi-même, de me retrouver dans ses bras.

Pendant la demi-heure de route, mes pensées étaient pour lui et non plus pour Fadoul ou Farah, il me manquait déjà et je ne regrettais pas d’avoir pris du plaisir avec lui ce matin même. Je me remémorais les événement du week-end, en une journée et demi, j’avais connu des moments inoubliables, j’avais reçu l’amour et l’affection qu’une femme devrait connaitre tous les jours de sa vie. J’étais loin de pensé à ce qu’il allait m’arriver avec Pierre-Louis, en rentrant à la maison.

La suite de l’histoire dès jeudi prochain, vous avez à votre disposition, la liste des précédents récits en bas de page.
Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.


Si comme Clémence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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